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La révélation du Roi de la guerre sur la guerre et la paix, partie 5/7

2024-06-23
Lecture Language:English
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J’ai eu beaucoup de mauvaises expériences avec les banques : Une banque en Amérique, une en Espagne, une grande banque – des banques internationales, célèbres, pas des banques normales. Je pensais que ce genre de banques de renommée internationale offrirait un bon service, qu’elles me faciliteraient la vie. Ce n’est pas le cas. Et les banques de renommée internationale d’Allemagne, d’Amérique, d’Espagne, de France – oh, j’ai essayé toutes sortes de banques. Elles m’ont causé tant d’ennuis, tant de bureaucratie. Et une fois, j’ai voulu faire un don pour la catastrophe (l’ouragan) Katrina. Ils m’ont aussi causé des ennuis. J’ai dû écrire beaucoup de choses pour qu’ils puissent envoyer de l’argent pour aider les victimes de l’ouragan Katrina. Je préfère que les gens ne connaissent pas mon nom ; au fond de moi, intuitivement, peut-être aussi pour des raisons de sécurité. Je ne veux pas que les gens sachent que j’ai tant d’argent ici et là. Pour les gens normaux, c’est beaucoup. Je n’ai pas autant d’argent que beaucoup de gens que vous connaissez, mais pour d’autres personnes, ou même pour un voleur, c’est beaucoup d’argent.

Si vous avez des espèces, c’est très simple de les donner à n’importe qui, quand vous le souhaitez. Ou même j’achète des choses du magasin pour la banque alimentaire ou pour les personnes pauvres, parce que parfois la mairie ou le maire d’une ville l’annonce. Je vais alors au magasin, j’achète et je laisse la marchandise au gérant du magasin pour qu’il l’envoie. Je ne l’envoie pas moi-même. Dans ces cas-là, je paie simplement en liquide. C’est pourquoi j’ai parfois beaucoup d’argent liquide. Je ne le fais plus, surtout lorsque je suis en retraite, bien sûr. Mais je ne veux pas donner de chèque ou de carte de crédit parce que les gens peuvent le découvrir.

Par exemple, une fois au Canada, je n’avais plus d’argent liquide et j’ai dû utiliser une carte de crédit. La police s’est même rendue au magasin pour demander : « Qui a acheté cela ? C’est de l’argent réel ou... ? » Parce qu’il y en avait beaucoup, alors ils se demandaient si c’était quelque chose de louche. Ils sont donc allés au magasin et ont demandé. Et ils ont vu : « Ok, c’est Sa carte de crédit. C’est Son nom. Tout va bien. » Et ensuite, ils ont su mon nom. Et ensuite, c’était même dans les journaux et à la télévision Oh, mon Dieu. C’est ce que je voulais le moins. Dans ce monde, il est si compliqué de faire même de bonnes actions. Mais je suppose que pour vous, vous n’êtes pas connus de beaucoup de gens, alors vous pouvez utiliser une carte de crédit ou un virement bancaire ou quelque chose comme ça. Mais dans la rue, pour les sans-abri, vous ne pouvez pas leur donner une carte de crédit, vous ne pouvez pas leur donner un chèque. Je ne suis pas sûre qu’ils puissent même aller dans un magasin et présenter un chèque pour obtenir à manger. Je n’en suis pas sûre.

Une fois, je me suis créé des ennuis, même avec un chèque. Dans certains pays, il existe deux ou trois systèmes, comme au Royaume-Uni par exemple. Je ne me souviens plus très bien. C’était il y a longtemps. Un pays comme l’Irlande du Nord fait également partie du Royaume-Uni. Je ne me souviens plus si c’était en Irlande du Nord ou si c’était déjà en Angleterre ? L’Irlande du Nord fait également partie du R-U, Royaume-Uni. Mais je ne savais pas qu’on y dépensait des monnaies différentes. En Irlande, en Irlande du Sud, on utilise l’euro, par exemple, de nos jours. Mais quand vous allez en Irlande du Nord, ils ne l’acceptent pas. C’est là le problème. Et ça cause beaucoup de problèmes. Ce n’est pas parce que vous avez de l’argent que vous n’avez pas d’ennuis. C’est simplement moins d’ennuis. Normalement, je n’aime pas utiliser une carte de crédit parce qu’il y a des noms et que parfois les gens peuvent la copier et retirer l’argent de la banque de la personne qui m’a prêté la carte de crédit – mon équipe. C’est plus facile pour eux de gérer une carte de crédit et ils me la prêtent lorsque je voyage ; J’utilise un distributeur automatique ou quelque chose comme ça.

Mais je ne savais pas que, même sur une île, on utilisait des monnaies différentes. En Irlande, dans le sud de l’Irlande, à Dublin, on utilise la monnaie européenne. En Irlande du Nord, ils ne l’acceptent pas parce qu’elle appartient au Royaume-Uni. Et puis, une fois, j’ai utilisé une carte de crédit parce que je n’avais plus d’argent liquide. Si vous ne cessez de donner, même la montagne s’écroulera. C’est ce que disent les Aulaciens (Vietnamiens). J’ai donc emprunté une carte de crédit. De toute façon, c’est mon argent. Mon équipe qui s’occupe de mon argent s’occupe de cela pour moi afin que je puisse utiliser mon argent en cas d’urgence à partir d’un guichet automatique. Je ne sais même pas comment l’utiliser. Je dois demander à quelqu’un qui est à côté dans le magasin : « S’il vous plaît, montrez-moi comment utiliser la machine. » Alors, ils m’ont montré : « D’abord, vous appuyez sur ceci et puis sur cela, et l’argent sortira. » J’ai fait cela plusieurs fois.

Et maintenant, dans ce pays, l’Irlande du Nord, j’ai introduit la carte de crédit, mais je l’ai utilisée dans la mauvaise machine, croyez-le ou non. Je pensais que toutes les machines donnaient la même monnaie. Non. Dans cette région – je suis sûre qu’il s’agissait de l’Irlande du Nord – j’ai mis une carte de crédit dans la machine et et une autre monnaie (différents billets) est sorti, mais je n’ai même pas regardé. Je ne suis pas experte en différences entre les monnaies. Même si tout le monde le sait, je ne manipule pas beaucoup d’argent dans un pays étranger, alors je ne savais pas. Une autre monnaie est donc sortie. Plus tard, j’ai pu payer dans un magasin de cette région pour acheter des chaussures, car j’avais besoin d’une paire de chaussures. J’ai donc acheté cela, ainsi que de nouveaux vêtements – une veste pour rester au chaud. Et j’ai pu payer à ce moment-là. Et j’ai même pu payer dans une sandwicherie végane, très bien. J’ai donc pensé : pas de problème. Le reste de l’argent, je l’ai donc mis avec l’autre argent, l’argent anglais ou l’argent européen, l’euro. Puis je suis retournée en Angleterre, à Londres.

Et je n’avais plus d’argent anglais ; j’avais déjà payé le taxi, l’avion ou autre chose. Je n’avais donc plus d’argent anglais, d’argent liquide. Je suis donc allée dans un magasin – j’ai vu une longue file d’attente. On m’a dit qu’on pouvait y changer de l’argent, parce que j’avais une autre monnaie que le magasin n’acceptait pas. J’ai alors réalisé qu’il s’agissait d’une monnaie différente. Ce n’est pas de l’argent anglais. On pouvait dépenser cela en Irlande du Nord, mais pas à Londres à l’époque. Ils m’ont dit : « Pas ici, pas ici. Vous ne pouvez pas dépenser cela à Londres, pas ici. Vous devez le changer. » J’ai donc dû aller dans ce magasin. Et avant cela, j’ai fait la queue devant ce magasin. J’avais beaucoup d’argent européen (euros) dans mon sac à main et je voulais changer des euros. Et j’en ai sorti un. À l’époque, je ne savais pas que la monnaie était différente. Je voulais changer des euros, parce que cet argent, ce n’était pas beaucoup de toute façon. Je voulais changer beaucoup d’euros pour trouver un hôtel, prendre un taxi et manger quelque chose.

Puis j’ai vu un homme assis par terre – très pauvre, aux habits en lambeaux – et j’ai pensé qu’il avait besoin d’argent. J’ai donc sorti de l’argent de mon sac et je le lui ai donné. Il a vu l’argent et a dit : « Non, pas ici. Vous ne pouvez pas le dépenser ici. Ce n’est pas de l’argent anglais. » J’ai dit : « Oh, OK. Je ne savais pas. Alors maintenant, vous pouvez aller dans ce magasin-là, devant ici, et changer l’argent en livres sterling. Ils vous le changeront. Vous allez devant moi. » Je lui ai donné ma place. Plus tard, il est entré et a changé l’argent. Il est sorti et m’a dit : « Oh, je l’ai changé. C’est bon. » J’ai donc cru que ce n’était pas un problème. Je suis entrée et j’ai aussi voulu changer la même monnaie. Et là, ils n’ont pas voulu me la changer. Ils m’ont grondée. Ils m’ont dit : « Vous ne faites pas ce genre de choses. Vous envoyez d’abord un homme vous changer de l’argent, et maintenant vous entrez et vous le changez. Je ne le ferai pas pour vous. »

J’ai dit : « Oh, non, monsieur. Je ne savais pas. Alors qu’est-ce que vous changez ? Vous changez les euros alors ? » Il m’a répondu : « Oui, bien sûr ». J’ai donc dû m’écarter et laisser quelqu’un d’autre entrer en premier parce que je devais ouvrir mes bagages et sortir plus d’argent. Et ils ne l’ont pas changé. Ils m’ont fait passer un sale quart d’heure et m’ont réprimandée pour toutes sortes de choses. Je ne savais pas pourquoi ils me grondaient. Je voulais juste changer de l’argent. Je suppose qu’ils me soupçonnaient de quelque chose. Parce que je n’ai pas l’air anglaise – bien sûr que non. J’ai donc dit : « D’accord, pouvez-vous changer autant d’argent que vous le pouvez, pour que je puisse prendre un taxi, aller à l’hôtel et me laver, parce que j’ai besoin de me laver, et j’ai besoin de manger. » Ils m’ont donc changé 300 euros en monnaie anglaise. Je ne savais pas qu’il était si difficile de changer de l’argent. Quand je suis sortie pour prendre un taxi, je ne savais pas non plus comment prendre un taxi là-bas !

J’ai donc demandé aux personnes qui faisaient la queue avec moi : « Avez-vous un numéro de taxi pour que je puisse m’appeler un taxi ? » Une gentille dame s’est alors détachée de la file et m’a dit : « Là-bas, il y a un magasin. À l’intérieur, vous avez un téléphone gratuit pour appeler un taxi. » J’ai dit : « Oh, ouah, ça existe ? C’est si gentil ! Et où se trouve le magasin ? » Elle l’a pointé du doigt. « Quel est le nom du magasin ? Comment y aller ? » Elle a dit : « OK, je Vous y emmène. » Elle m’a donc amenée au magasin. J’ai donné à ce bureau de poste des milliers d’euros, mais ils ne me les ont changé qu’à la fin, lorsque j’ai dit « S’il vous plaît, changez-en un peu pour que je puisse aller manger quelque chose. » Ils n’ont alors changé que 300 euros. Ils n’ont pas changé plus. J’ai dit : « D’accord, merci quand même, merci quand même. »

Plus tard, la dame qui m’a amenée au magasin m’a dit : « Vous pouvez aller dans ce magasin. Ils vous changent tout, n’importe quelle monnaie, et des montants plus importants. » J’ai dit : « Vraiment ? C’est si gentil ! » Alors plus tard, quand j’ai pris le taxi de ce téléphone gratuit... Elle m’a même montré comment appeler via ce téléphone : « Décrochez-le et quelqu’un Vous parlera, puis Vous direz que Vous voulez un taxi, et Vous leur direz où Vous êtes, et ils viendront. » Je ne savais pas non plus où j’étais. Alors j’ai dit : « Le magasin. » Ils m’ont répondu : « Nous avons beaucoup de magasins comme ça. Vous devez me donner l’adresse. » J’ai donc demandé aux employés du magasin de venir parler au chauffeur de taxi. J’étais une « étrangère en terre d’Égypte. » Alors ils m’ont aidée et j’ai pris un taxi.

Photo Caption: Certains peuvent sembler similaires, mais regardez toujours de plus près pour voir la qualité distinctive – la différence.

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