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L’histoire de Mahākāśyapa (vegan) , partie 5/10

2024-07-27
Lecture Language:English
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Alors, tout ce que vous faites pour les autres, prenez garde, vous en porterez le karma. Il n’est pas possible d’aider quelqu’un et de devenir sans karma. Ce n’est pas possible. D’une manière ou d’une autre, vous devrez en supporter une partie.

Il y a une histoire en Inde. Un homme a appris d’un Maître qu’il ne devait pas donner de choses aux personnes pauvres ou aux gens méchants parce qu’il deviendrait pauvre, ou qu’il irait lui-même en enfer pour les péchés que les gens qu’il aidait avaient commis. Oh, cette personne s’est mise à bondir de haut en bas et a dit : « Oh, c’est si bien, si bien, si bien. Oh, tout le monde peut être heureux et libre et avoir ce dont il a besoin ; je suis le seul à pouvoir aller en enfer. C’est une très bonne affaire, un bon business. » Tout dépend donc de qui l’a entendu et de qui veut faire quoi pour qui dans ce monde.

C’est pourquoi les Maîtres ne s’en soucient pas. Ils savent que Leur travail est difficile et que Leur souffrance sera grande, constante, implacable, chaque jour, dans différentes situations ou même parfois en enfer ; ou parfois dans un niveau inférieur, comme le Niveau Astral, ou en étant puni ici sur Terre ! Mais Ils font cela parce qu’Ils ne peuvent pas ne pas le faire.

Par exemple, il y a l’histoire d’un Maître et d’un disciple qui étaient sur un bateau pour traverser la rivière. Mais le Maître a vu un scorpion-personne qui se débattait dans l’eau, alors Il a tendu la main pour prendre le scorpion-personne et Il a essayé de le mettre dans le bateau pour que le scorpion-personne ne se noie pas. Le scorpion-personne L’a alors mordu, puis a sauté dans la rivière, a rampé dans la rivière et était à nouveau en difficulté. Et le Maître a tendu l’autre main pour le repêcher. Et la même chose s’est reproduite : Il a été mordu, et le scorpion-personne a essayé de ramper pour s’échapper. Mais en rampant hors du bateau, il est retombé dans la rivière. Le Maître a donc tendu Sa main pour prendre à nouveau le scorpion-personne.

Le disciple L’a arrêté, Lui a tenu la main et a dit : « Le scorpion-personne va-t-il encore Vous mordre ? » Le Maître a répondu : « Oui, il le fera. » Le disciple Lui a alors demandé : « Pourquoi Vous mordrait-il à nouveau ? » Le Maître a répondu : « C’est dans sa nature de faire cela. » Alors, le disciple a demandé au Maître : « Alors pourquoi continuez-Vous à essayer de l’aider ? Vous serez blessé et il Vous mordra à nouveau. » Le Maître a répondu : « Parce que c’est dans ma nature de le faire. Donc, si le scorpion-personne ne peut pas s’arrêter, ne peut pas contrôler sa propre nature, moi aussi, je ne peux pas contrôler ma propre nature. Je ne peux pas être pire que lui. Le scorpion-personne fait ce qu’il doit faire ; je fais ce que j’ai à faire ».

C’est très drôle, mais c’est très triste. C’est pourquoi tant de Maîtres souffrent. Depuis des temps immémoriaux, Ils n’ont jamais eu une bonne vie. Le Seigneur Jésus est mort brutalement sur la croix, et Ses Apôtres, les douze Apôtres les plus proches, sont aussi morts brutalement. Mon Dieu, je ne sais pas comment les humains peuvent faire de telles choses. Peut-être n’étaient-ils pas des humains ; ils étaient possédés par des démons ou ils étaient eux-mêmes des démons réincarnés. C’est tout à fait possible. Tout comme un Saint peut se réincarner sur Terre, les démons peuvent aussi s’incarner sur Terre. Dans la région inférieure de l’Univers, c’est ainsi. Et nous sommes redevables à tous les Maîtres, depuis des temps immémoriaux, Qui nous ont sauvés maintes et maintes fois, encore et encore.

Revenons maintenant à Mahākāśyapa. Après Leur mariage, la femme était impatiente de s’enfuir ou de trouver un Maître, de pratiquer, d’être libérée, d’être illuminée. Mais Mahākāśyapa Lui a dit : « Attends encore un peu. Nous ne pouvons pas laisser les parents comme ça. » Il était aussi très filial et c’était un bon fils. Après quelques années, les parents sont décédés. Puis le fils, Mahākāśyapa, a vendu tous les biens et les a partagés avec les serviteurs qui travaillaient dans Sa maison à l’époque de Ses parents depuis qu’Il était jeune, et Il en a également donné aux pauvres des environs, et il restait juste un peu d’argent, assez pour survivre. Et puis Mahākāśyapa dit à la femme : « La route est longue et difficile, alors Tu restes ici. Attends-moi. Si je trouve un Maître, je reviendrai Te chercher. »

Mahākāśyapa a donc continué, allant partout, et Il a trouvé de nombreux soi-disant Maîtres, mais Il n’avait pas l’impression qu’ils étaient assez dignes pour Lui. Un jour, il a rencontré le Bouddha Sakyamuni et, après quelques échanges, Il a su qu’Il était le bon. Il était si désireux de devenir Son disciple. Il s’est agenouillé sur le sol et a supplié d’être accepté. C’est ainsi qu’Il est devenu le disciple du Bouddha, un moine. Il était alors si heureux, Il étudiait avec Lui, sortait mendier et ensuite étudiait et méditait. Tout était si bien et si paisible ; c’était exactement ce qu’Il voulait. Et il est devenu un Arahant en un rien de temps.

Mais parce qu’avant cela, Il sortait déjà, mendiant et ne mangeant qu’une fois par jour, alors lorsqu’Il suivit le Bouddha, Il continua à faire de même. Et Bouddha L’a félicité. Et Mahākāśyapa, lorsqu’Il était déjà très âgé, le Bouddha Lui a même conseillé, Lui a dit qu’il devrait manger de la meilleure nourriture avec eux, avec les moines de la Sangha, afin d’avoir une meilleure santé, un meilleur corps. Mais Mahākāśyapa a refusé, a dit qu’Il ne pouvait pas. Il était tellement habitué à manger un repas par jour, habitué à ce genre de discipline, 13 règles de discipline. Il ne pouvait donc pas changer. Le Bouddha a donc dit : « D’accord, c’est bien, c’est bien. Tu peux rester comme ça, tant que Tu vas bien. » Et Mahākāśyapa allait bien ; et Il va toujours bien.

Et je Lui suis très redevable. Je veux Lui redire que je chéris beaucoup, beaucoup le don du śarīra du Bouddha. Je ne sais pas comment trouver les mots pour exprimer à quel point je l’apprécie. Mahākāśyapa m’a également envoyé un bol, comme un bol à aumônes, un bol de mendicité et quelques petits bouts de tissu jaune.

« Mahākāśyapa est toujours assis en samadhi au Mont Pied de Poule dans l’attente de l’apparition du Bouddha Maitreya dans le monde. À ce moment-là, Il donnera à Maitreya le bol que les quatre Rois Célestes ont donné au Bouddha Shakyamuni et que le Bouddha Shakyamuni Lui a donné, et Son travail dans ce monde sera achevé. » ~ Commentaire du Vénéré Maître Hsuan Hua (végétarien) sur Le Sutra de l’Assemblée des Arhats (Le Sutra d’Amitabha)

Je tiens donc à remercier ici Mahākāśyapa pour Sa gentillesse à mon égard. Nous étions amis dans les vies passées, et nous étions bons l’un pour l’autre, compatibles. Merci pour les reliques du Bouddha. Merci pour le bol, comme le bol à aumônes, le bol de mendicité du moine. Et merci aussi pour les bouts du beau tissu jaune. Mais je suppose que je ne peux utiliser aucune de ces choses que Vous avez apportées. Les reliques sont trop précieuses pour servir à autre chose. Et le bol, je pense que je vais le garder en souvenir. Je crains que si je l’utilise pour manger, il ne s’abîme par hasard, d’une manière ou d’une autre. Je veux donc le garder en souvenir et pour le révérer.

De nos jours, on ne peut pas porter le jiāshā, les robes des moines, et aller ici et là en mendiant avec le bol. Non. Il est très difficile de vivre ainsi de nos jours, à moins de se trouver dans un pays bouddhiste très dévot – l’Inde, le Sri Lanka, Âu Lạc (Vietnam), la Birmanie, etc. Là-bas, ils comprennent le bouddhisme et ils savent si vous voulez à manger. Mais à notre époque, Mahākāśyapa devrait comprendre, le Bouddha comprend aussi qu’il est très difficile de sortir mendier, surtout pour une femme, et je ne suis plus très jeune, alors je ne mange qu’un repas par jour à la maison, et je dois faire beaucoup de devoirs à l’intérieur et à l’extérieur. Si je sors sans arrêt, pour mendier et revenir, je ne pense pas que ce serait pratique pour moi, même si j’aimerais cette vie libre, vraiment, vraiment beaucoup !!!

Photo Caption: Merci à Dieu Qui nous accorde la Beauté et le Pouvoir de guérir !

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